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L'écho que cherche ma voix

« Angélique, Angélique
Oh quand devant moi tu marchais
Toi tu semblais voler, je croyais voir un ange du ciel.
Tu souriais gentiment
Sans savoir qu'en passant
Tu déchirais mon cœœur d'enfant.
Et un matin de printemps,
Tu as pris le chemin
Qui fait femme une enfant de seize ans.
Mais au bout de ce chemin,
Ce n'était pas ma main
Qui te prenait la main. »


Dans les années soixante, Michel Orso se penchait déjà sur une Angélique premier amour, premier sourire et premier printemps comme une Angélique premier matin, premier soleil et premier chagrin. Une femme enfant de seize ans qui est restée à jamais un dernier amour, un dernier sourire et un dernier printemps.

« Angélique, Angélique
Tu seras toujours pour moi
L'écho que cherche ma voix.»

Angélique

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